Les personnages de l’application Lalilo sont des lettres

Leur apparence est inspirée de l’histoire des lettres de l’alphabet.

Notre alphabet est un système d’écriture constitué d’un ensemble de symboles qui ont chacun une histoire.

Les lettres que nous utilisons sont issues de mots porteurs d’une signification. Ainsi, le A vient de la première lettre du mot aleph qui veut dire « taureau », le B vient de la première lettre du mot beth qui veut dire « maison », le C vient de la première lettre du mot guimel qui signifie « chameau », etc…

Image extraite du Livre de Marc-Alain Ouaknin, « Les mystères de l’alphabet » , Broché, 1997.

Notre alphabet Latin est né d’un principe simple : L’ACROPHONIE. Le son des lettres correspond au premier phonème de leur mot d’origine. A pour Aleph, B pour Beth etc… Nous reprenons cette idée d’acrophonie pour créer les Lilos. Ainsi, Anatole pourra jouer avec la lettre A qui aura des petites cornes de taureau. Bastien avec la lettre B qui aura un chapeau-cheminée, Charline sera représentée par un C à l’allure de dromadaire et ainsi de suite…

Ainsi, l’abécédaire de Lalilo possède une interprétation universelle contrairement à un abécédaire classique, propre à chaque langue. Il peut s’appliquer aussi bien aux États-Unis qu’en France.

Chaque enfant est représenté par son Lilo, des personnages qui s’affranchissent des questions de genre ou d’identité. Ils nous permettent de personnaliser l’expérience de chaque enfant tout en gardant un lien direct avec le monde de la lecture.

(Article écrit en collaboration avec Victor Coutard)

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